DOCTEUR XAVIER GAULT - Chirurgien plasticien
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Chirurgie de la silhouette

Lifting de la cuisse

Définition

La peau de l’intérieur des cuisses est fine et ses fibres élastiques fragiles. Elle est donc rapidement dégradée par le vieillissement naturel ou par les variations pondérales.

Cette dégradation est souvent mal vécue et la demande de réparation est donc forte.

Au problème de l’excès de peau s’associe souvent le problème d’un excès de graisse localisé à ce niveau. L’augmentation de son volume peut devenir gênant à la marche à cause du frottement.

Ces lésions ne justifient pas une prise en charge par la Sécurité Sociale, à l’exception des séquelles d’obésité après chirurgie bariatrique qui peuvent, sous certaines conditions, bénéficier d’une participation financière par l’assurance maladie.

Avant l’intervention

Un examen clinique minutieux permettra de définir le type d’intervention le plus approprié à votre cas (choix de l’incision, opportunité ou non d’une lipoaspiration associée…). Une information précise du déroulement de l’intervention, des suites et du résultat prévisible sera faite lors de la première consultation. Notamment, l’emplacement de la cicatrice résiduelle vous sera bien exposé.

La consultation est très importante car elle permet au chirurgien de préciser quels sont les désirs exacts de la patiente et surtout ce qu’elle est capable d’accepter comme cicatrice. En effet, un même cas peut-être traité par 2 opérations différentes. Par exemple, si la patiente désire un résultat parfait, qu’elle n’a pas peur d’avoir des cicatrices visibles et qu’elle est connue pour bien cicatriser, on pourra indiquer une opération à cicatrice verticale. Dans le cas contraire on peut préférer un résultat plus modéré mais avec une cicatrice bien cachée dans le sillon.

Un bilan pré-opératoire habituel est réalisé conformément aux prescriptions.

Le médecin anesthésiste sera vu en consultation au plus tard 48 heures avant l’intervention.

L’arrêt du tabac est très vivement recommandé au moins un mois avant et un mois après l’intervention (le tabac peut être à l’origine d’un retard de cicatrisation, voire d’une nécrose).

L’intervention

Chaque chirurgien adopte une technique qui lui est propre et qu’il adapte à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats.

Une lipoaspiration est associée chaque fois qu’il existe une infiltration adipeuse de la région.

De l’examen de la peau découle 3 types d’opération :

Technique horizontale pure : On l’utilise lorsque l’excès en longueur est prédominant. Il se traite en tirant la peau vers le haut « comme on remonte un pantalon ». La cicatrice part du pli de l’aine. Elle se prolonge ensuite dans le sillon entre le périnée et le haut de la face interne de la cuisse, et se poursuit en arrière jusqu’au pli fessier où elle se termine.

 

Technique verticale pure : L’excès en largeur est prédominant et se traite « comme on rétrécit un pantalon ». La cicatrice verticale est située le long de l’intérieur de la cuisse. Elle est plus ou moins longue (et donc plus ou moins visible) suivant l’importance de l’excès de peau. Elle peut donc être limitée au tiers supérieur de la cuisse et dans ce cas là elle très discrète. Lorsque l’excès est important, comme après une perte de poids massive par exemple, elle peut descendre jusqu’au genou. Il n’y a pas besoin de fixation de la peau au ligament car la traction est horizontale.

Technique mixte : les deux techniques sont souvent associées lorsqu’il y a présence des deux excès de peau. On obtient ainsi une cicatrice en L inversée ou en T.

La durée de l’intervention est en moyenne de 2 heures. Elle est variable en fonction du chirurgien et de l’ampleur des améliorations à apporter et peut aller jusqu’à 4 heures dans les pertes de poids massives.

En fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de bandes élastiques collantes ou bien on met en place un panty de liposuccion.

Après l’intervention

La sortie pourra intervenir en règle générale le lendemain ou le surlendemain de l’intervention.

Dans les suites opératoires, des ecchymoses (bleus) et un œdème (gonflement) peuvent apparaître. Ils régresseront pour l’essentiel dans les 10 à 20 jours suivant l’intervention.

Les douleurs sont en règle générale supportables, avec un traitement adapté, à type de courbatures, de tiraillements ou d’élancements.

Dans tous les cas, il s’agit d’une chirurgie un peu invalidante car il y a gêne à la marche simplement à cause de la topographie des zones opérées.

La cicatrice est située au fond d’un profond sillon dans lequel il y a de l’humidité. La cicatrisation est donc toujours un peu plus longue qu’ailleurs en zone sèche. Durant cette période, il conviendra d’éviter tout mouvement d’étirement brutal comme par exemple en s’asseyant.

Les principes

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des cuisses, une lipoaspiration isolée ne peut suffire et seule une remise en tension de cette peau est susceptible de corriger ce défaut : c’est le lifting crural ou cruroplastie ou lifting de la face interne de la cuisse.

Les objectifs

L’intervention a pour but de réduire l’infiltration graisseuse par une lipoaspiration, mais aussi de supprimer l’excédent cutané et de suspendre solidement la peau restante afin de la retendre efficacement.

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Type d’anesthésie : Le lifting de la face interne des cuisses peut être réalisé sous anesthésie générale ou sous anesthésie locale approfondie par des tranquillisants administrés par voie intra-veineuse (anesthésie « vigile »).

Le choix entre ces différentes techniques sera le fruit d’une discussion entre vous, le chirurgien et l’anesthésiste.

Modalités d’hospitalisation : La durée d’hospitalisation sera en moyenne de 1 à 3 jours selon les cas.

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Il n’est apprécié qu’à partir d’un délai de 6 à 12 mois après l’intervention. Il convient en effet, d’avoir la patience d’attendre le temps nécessaire à l’atténuation de la cicatrice.

On observe, le plus souvent, une bonne correction de l’infiltration graisseuse et du relâchement de la peau, ce qui améliore sensiblement la morphologie de la cuisse.

Les cicatrices sont habituellement assez discrètes, d’autant qu’elles sont en grande partie cachées dans un pli naturel et dissimulables par des sous-vêtements (sauf si l’association à une cicatrice verticale était nécessaire). Il faut toutefois savoir que, si elles s’estompent bien en général avec le temps, les cicatrices ne sauraient disparaître complètement. A cet égard, il ne faut pas oublier que, si c’est le chirurgien qui réalise les sutures, la cicatrice, elle, est le fait du (de la) patient(e).

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Un lifting de la face interne des cuisses, bien que réalisé pour des motivations essentiellement esthétiques, n’en reste pas moins une véritable intervention chirurgicale, ce qui implique les risques liés à tout acte médical, aussi minime soit-il.

Il faut distinguer les complications liées à l’anesthésie de celles liées au geste chirurgical.

En ce qui concerne l’anesthésie, lors de la consultation, le médecin anesthésiste informera lui-même le patient des risques anesthésiques. Il faut savoir que l’anesthésie induit dans l’organisme des réactions parfois imprévisibles, et plus ou moins faciles à maîtriser : le fait d’avoir recours à un Anesthésiste parfaitement compétent, exerçant dans un contexte réellement chirurgical fait que les risques encourus sont devenus statistiquement très faibles.

Il faut savoir, en effet, que les techniques, les produits anesthésiques et les méthodes de surveillance ont fait d’immenses progrès ces trente dernières années, offrant une sécurité optimale, surtout quand l’intervention est réalisée en dehors de l’urgence et chez une personne en bonne santé.

En ce qui concerne le geste chirurgical : en choisissant un Chirurgien Plasticien qualifié et compétent, formé à ce type d’intervention, vous limitez au maximum ces risques, sans toutefois les supprimer complètement.

En effet, des complications peuvent survenir au décours d’un lifting de la face interne des cuisses qui constitue une des interventions les plus délicates de la chirurgie plastique et esthétique.

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